Le milieu naturel qui entoure le parc Thunderbird était autrefois ce que les biologistes appellent un écosystème de chênes de Garry. Dans le passé tout comme de nos jours, l’influence humaine s’y fit ressentir. Les Premières Nations lukwungens incendiaient le terrain tous les automnes pour favoriser la récolte de bulbes de camas de même que d’autres plantes. Des marais et marécages avoisinants fournissaient des joncs et autres plantes aquatiques utilisés dans la fabrication d’objets divers.